Sebastián López
Bienvenus!
Dans cette section, vous pouvez lire une partie de mon travail, realisée pendant le cours de Français III: Langue et culture.

RÉSUMÉ DU CONTE LE ROSSIGNOL ET LA ROSE
Ce joli conte, écrit par d’Oscar Wilde, parle sur un jeune étudiant qui est vraiment amoureux. L’étudiant raconte que le Prince donnera un bal demain soir, auquel sera allée son amour. Il était très triste parce que cette femme qu’il aimait lui exigeait une rose rouge pour danser avec lui. Donc, s’il l’obtenait il danserait finalement avec la femme de ses rêves. Néanmoins, l’étudiant était très déprimé parce que dans son jardin il n’y avait pas de roses rouges. Cette situation était catastrophique pour lui. Tous les animaux qu’avaient vu la situation n’ont pas compris et même se sont moqués, possiblement ils ont pensé que l’étudiant étais très exagéré. Un rossignol qui se posait près du jeune, a écouté et a compris la situation du jeune étudiant et il a dit : « Voici bien l’amoureux vrai. »
Le rossignol a volé à la recherche d’une rose rouge pour le triste étudiant. Après avoir rendu visite à deux rosiers et ne trouver absolument rien, le rossignol s’est posé sur un autre rosier qui était sous la fenêtre de l’étudiant. Ce rosier avait ce qu’il cherchait : des roses rouges. Cependant, pour obtenir la rose, le rossignol devait chanter toute la nuit avec les épines du rosier en train de transpercer son cœur et bien évidement jusqu’à sa mort. Un arbre a ecouté la situation et tristement il a demandé au rossignol de chanter une dernière chanson. Pendant que le rossignol chantait la rose commençait d’obtenir sa couleur rouge et l’épine transperçait aussi le cœur de l’oiseau.
Le rossignol a décidé de se sacrifier pour le besoin du jeune étudiant ou du, comme il l’a dit, « l’amoureux vrai ». Plus tard, étonnement l’étudiant a trouvé la nouvelle rose. Ainsi les choses, le jeune est allé au bal du Prince et il a donné la rose à la fille, cependant, ce geste n’a pas eu d’importance pour elle. La femme a préféré les bijoux du chambellan. Il lui a dit qu’elle était une ingrate et finalement, dans un acte réfléchi, l’étudiant a reconnu que l’amour est une chose idiote.
LES VALEURS HUMAINES TROUVÉES DANS LE CONTE
Dans le conte « Le rossignol et la rose » nous pouvons identifier certaines valeurs humaines. Il y a de bonnes valeurs comme par exemple, la solidarité du rossignol avec la situation de l’étudiant : il a compris le jeune homme, même si aucun animal avait donné de l’importance à son affaire. En plus, nous pouvons voir la persévérance du rossignol à la recherche d’une rose rouge : il n’a pas trouvé important le fait de ne pas trouver des roses rouges au début de sa recherche.
Le conte nous permet aussi d’apercevoir que le rossignol est aimé par plusieurs animaux et plantes. Également, il a un grand courage. Il n’a pas eu peur de mourir pour aider un camarade et pour le rendre heureux.
Quant au contraire des valeurs, il y a deux principaux : c’est l’intérêt et le matérialisme de la fille. D’abord, nous regardons qu’elle seulement danserait avec le jeune homme s’il le donnait le rose, l’intérêt est évident. D’autre part, elle a méprisé le bon détail de l’étudiant, pour être avec le chambellan et ses bijoux. Par conséquence, l’effort du rossignol et sa mort, ont été malheureusement en vain. De la même manière, la femme démontre une grande ingratitude : plusieurs fois les personnes méprisent les détails sans savoir l’effort que l’autre personne a pu faire.

UN AMOUR EN OR
Une histoire inspirée du conte "Le rossignol et la rose".
Tout était bien avant que le Coronavirus apparaisse dans notre société. Cette maudite maladie nous a ruiné : mon épouse avait été licenciée de son travail et moi, je travaillais seulement comme messager. Ce que je gagnais n’était pas suffisant pour toutes nos dépenses, lesquelles étaient vraiment considérables. Ma chère épouse, Marie, était en train de souffrir d’une maladie du cœur. Les médicaments étaient chers, et nous avions de l’argent juste pour vivre. Je devais faire quelque chose pour obtenir ses médicaments, c’était une affaire de vie ou de mort.
J’ai commencé à chercher d’autres travaux, c’était difficile car je n’étais qu’un simple bachelier. J’avais beaucoup d’expérience en pas mal de choses, cependant, la quarantaine avait réduit les offres de travail. La cerise sur le gâteau a été que mon patron avait annoncé qu’il y aurait une réduction de personnel. Il avait ses préférences, je savais donc qu’il me licencierait. Par chance, grâce à mon expérience en horlogerie, j’avais commencé une période d’essai dans une bijouterie du centre-ville. Le patron était un crétin, mais je ne voulais que gagner l’emploi. Finalement, je me suis retrouvé sans rien : ni messager, ni bijoutier.
Les choses ont empiré, Marie était en mauvais état de santé et nous nous retrouvions sans argent ni pour manger ni pour les médicaments de ma bien-aimée. J’ai eu une idée, risquée mais nécessaire : Marie était vraiment mal. Quand j’avais été dans la bijouterie, j’ai identifié, que, c’était facile de voler dans la nuit, puisqu’il n’y avait pas de surveillance et en plus, le patron ne regardait pas beaucoup les caméras de sécurité. Également, les choses à réparer ne se gardaient pas sous clé.
J’ai mis en marche mon plan. Précautionneusement, chaque semaine dans la nuit, j’entrais à travers de la ventilation et je dérobais quelques choses d’or et d’argent de la chambre de réparation. C’était plus que suffisant pendant que Marie améliorait sa santé et pendant que nous obtenions un nouvel emploi. Quand un cambriolage comme ça arrive, la première chose qu’on pense, c’est que ce sont les mêmes employés. Toutefois, tôt ou tard, dans la bijouterie, ils découvriraient que le voleur était de l’extérieur.
Pendant 3 semaines j’avais réuni une certaine quantité d’argent. Dans la quatrième semaine, j’avais dit à Marie que ce serait la dernière fois que j’allais faire ce que je faisais. Cette nuit-là, je suis rentré normalement dans la bijouterie, et j’ai fait la même chose que d’habitude : j’ai pris quelques horloges d’or et d’argent de la chambre de réparation. J’ai gardé le butin, mais quand j’étais sur le point de sortir, j’ai senti comme des explosions et aussi, comme si de l’eau était en train de couler dans mon corps. Tout à coup, je suis tombé et j’ai seulement pu écouter une voix grave que me disait : « Enfin nous t’avons attrapé, vermine. » Surement, c’était un garde de surveillance qui m’avait tiré dessus.
Je l’ai bien su : j’allais mourir. Avant de fermer mes yeux, j’ai pensé à Marie, je la connaissais bien, je savais qu’elle était forte pour affronter ce qui viendrait, qu’avec ce que j’avais fait elle pouvait finalement améliorer sa santé et être mieux. Je me suis senti coincé, et, dans ce pays sans opportunités, cela a été ma sortie car mon épouse allait mourir… j’ai donné ma vie pour elle, pour mon amour.
FIN